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samedi 16 mars 2019

L'Eventreur de New-York (1982) HD dual audio + Repack Uncut VF+VO+STFR






Réalisé par : Lucio Fulci
Avec : Jack Hedley, Alewandra Delli Colli, Paolo Malco, Howard Ross, Almanta Suska...
Durée : 1h33 uncut (version ciné 1h31)
Genre : Horreur, Thriller
Note IMDB : 6,4
Qualité : HD 1080p light dual audio + Dvdrip repack uncut vf +vo italienne + stfr




                             LE CONTEXTE


Des jeunes femmes sont retrouvées assassinées, éventrées dans des conditions particulièrement atroces. L'inspecteur Fred Williams, secondé par un spécialiste en psychologie, mène l'enquête. Un individu prend contact avec l'inspecteur par téléphone : il prétend être l'auteur de ces meurtres...


                                                   Mon Avis


Cela faisait longtemps que je n'avais pas proposé un des musts horrifiques du maestro "Fulci" ! "L'Eventreur de New-York" est sans aucun doute l'un des films les plus hardcore niveau gore du réalisateur (avec la trilogie macabre : "Frayeurs", "L'Au-delà" et "La maison près du cimétière"). Mais aussi pour ma part, un des ses meilleurs films tout court. Pourquoi ? déjà de par sa mise en scène, tour a tour audacieuse et inventive dans ses choix de cadrages, variant les angles de vue, donnant une dimension à la fois proche du réalisme documentaire par moments, quand il filme les bas fonds de la Grosse pomme, et d'un ride fictionnel filmé au plus près de l'horreur d'un tueur implacable, démontrant ici clairement, ce qu'est le "plaisir par le meurtre pour le meurtre" (la scène du découpage de seins est bien craspec à voir !). Une solide leçon de technique de la part de Fulci, donc, appuyé également par un montage soutenu, bien rythmé aussi bien dans le suspense que l'action. 

Mais il ne faut pas non plus oublier un scénario bien ficelé qui donne la part belle à quelques rebondissements bien agencés jusqu’à la révélation finale qui donne dans l'outrancier volontaire, avec beaucoup d'efficacité.Je n'oublierai jamais aussi cette voix de canard qu'arbore l'éventreur avant de passer à l'acte.Je le redis,les scènes gores sont particulièrement efficaces et accentue le réalisme du fait que les mises à mort sont très graphiques. 
Tout ce qui faisait la beauté du cinéma de Fulci, en somme, à sa grande époque (moins vers la fin,celle des années 80 et début des années 90)c'est cette propension à transcender les codes du genre (ici,un mélange savant de thriller et de film d'horreur sur un ton ouvertement Giallesque dans ses scènes de meurtre)en n'hésitant pas à appuyer souvent là ou ça faisait mal ! 

Je vous laisse méditer las-dessus et vous convie à voir ou revoir ce petit must bien glauque d'un New-York de dépravation (prostitution à tout va, rackets, visions de bas fonds ultra sordides avec des métros déserts et taggées dans tous les sens, rives new-yorkaises empli de tas d'immondices) que Fulci transforme en terrain de jeu idéal pour un tueur en série vraiment à part, en quête de proies, vouées inévitablement à une mort souvent radicale dans l'acte de tuerie à l'arme blanche !




Merci à toutes et tous pour vos très nombreux commentaires à venir...

Reup sur demande uniquement !


Ajout version HD 1080p light VF+VO Anglaise +STFR (Une connaissance d'Hypérion)


Repack vf uncut : 


Vo Italienne :
 

Sous-titres fr ici : (désolé mais il y a quelques fautes de syntaxes a dénoter à l'extraction)







29 commentaires:

  1. pour une fois Atreyu, je ne suis pas d'accord avec toi. Ce film est pour moi mineur dans l'oeuvre de Fulci, bien en deça de ses grands films horrifiques des années précédentes et annonce meme son déclain. l'interprétation et le scénario sont faibles, seuls les effets gore ont donné au film une petite réputation. M'enfin, c'est mon avis. bonne continuation à toi et bon Week-end.

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    1. Après a chacun son point de vue, c'est ce qui fait le débat justement, on ne peut être d'accord avec moi sur la plupart de mes avis, et heureusement d'ailleurs, sinon on s'ennuierait ! mais moi non plus suis pas d'accord avec toi notamment sur le scénario que je trouve bien écrit niveau dialogues et loin d'etre faible, j'ai vu bien pire de Fulci (Conquest, nightmare concert, les fantomes de sodome, quando alice ruppe lo specchio)et l’interprétation est très correcte, y'a eu aussi largement pire dans la filmo de Fulci, et tu oublies la mise en scènequi est quand meme plein de bonnes trouvailles visuelles je trouve, bref on sera pas d'accord mais pas grave, quant à moi je reste affirmatif sur mes propos, c'est un de ses tout meilleurs films et c’était pas encore tout a fait le déclin avec ce film, non, mais par la suite oui ! voila bon week end egalement

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    2. Je suis d'accord avec Atreyu. L'éventreur de New York n'est en rien un film mineur de Lucio Fulci. Une vision de New York malsaine, un scénario satisfaisant et des scènes horrifiques très efficaces. A mon avis, son déclin est venu après.
      Par contre, je croyais que la seule version intégrale était en anglais.

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  2. Fulci Forever!Je l'ai en dvd dollector dans le défunte collection NéoPublishing..Mais comme tant d'autres "classiques" je prends ta version qui sera forcément plus belle et te remercie d'avance.Fulci c'est comme Franco j'aime toute l'oeuvre et cet éventreur je l'ai découvert très tot.La b.o passe aussi régulièrement sur ma platine..que dire de plus,je suis aux anges,il y a peu j'ai trouvé un magnifique repack de Murderock et j'aimerai que çà continu!Merci Atreyu

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  3. merci beaucoup attreyu , je vais lui redonner une chance car la version que j'ai est une VF only 720:320 et je pense qu'elle est Cut en plus? (elle fait exactement 1H33) car les débordements graphiques habituels d'il maestro ne m'avaient pas marqué plus que ça si je me rappelle bien, j'avais trouvé ça un peu sage même si je me souviens bien.
    quand à mon avis, c'est un peu entre vos 2 avis respectifs, c'etait un bon film si je me rappelle bien, assez bien ficelé, comme les films policiers / NYC / horror ou autre de l'époque , type Cruising, taxi.D. New York 2h00 Du Matin & co , toujours un plaisir de retrouver le NYC de la période 70-85 ;
    Juste j'avais trouvé la photo un peu sombre par moment si je me rappelle bien.
    maitenant il y avait des scènes cool en caméra subjectives un peu à la maniac de zito, je me demande d'ailleurs s'il ne s"en inspire pas un peu. la ManiacXploitation ?!
    il faut que je lui redonne une chance en tout les cas et en VO cette fois ci.
    tnks & cheers !

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    1. ManiacXploitation, si on veut. Mais plutôt un giallo tardif comme son Murder Rock, et un tueur vaguement inspiré de celui des Frissons de l'angoisses d'Argento.

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    2. PS : Lustig. Zito c'est Vendredi 13

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    3. Oups ! Oui, merci de la rectif. Effectivement, argento !

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  4. Super, pas revu depuis une location dans un vidéo club il y a bien longtemps... J'ai hâte de le revoir ! Merci d'avance...

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  5. Grand merci pour cette version uncut.

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  6. Merci pour ce repack et je vais surtout pouvoir enfin savourer le film en VO sans sous titres. Pour la critique, j'ai toujours aimé ce film, même si mon préféré reste L'au Delà. Le déclin viendra après, mais n'oublions pas non plus que Fulci était aussi tributaire des producteurs, et sans moyens conséquents il ne pouvait pas aller bien loin. Mon seul regret, et je ne dois pas être le seul, c'est que je ne saurai jamais ce qu'aurai donné "Masque de cire", qu'il aurait du tourner si la grande Faucheuse n'était pas d'abord passé lui rendre visite.

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  7. Beaucoup de choses à deviser sur ce film.
    A mon sens, d'abord, Fulci avait excellé dans une quadrilogie, non de l'horreur, mais de l'épouvante. Jamais un autre réalisateur n'aura fait aussi bien dans ce jusqu'au boutisme de gore, d'épouvante, dans un univers adulte et sans concession, avec parfois une touche de poésie.

    En ce qui concerne Cet éventreur de N-Y, il s'agit en effet peut-être du dernier film à considérer et qui clôt de manière définitive sa première partie de carrière, la très bonne, celle à considérer, et non la seconde avec des téléfilms, des budgets, des collaborateurs derrière la caméra indignes de son talent.

    L'éventreur... est également un film brute sans concession, toujours dans un univers adulte, réellement lointain des standards actuels. Une plongée dans un monde parfois putride, qui était d'ailleurs un des mauvais aspects de la ville de N-Y. Pour ma part, je suppose que les italiens tournaient sans autorisation à N-Y ou aux USA, une de leur grande spécialité à l'époque, et que l'authenticité fut donc saisie de manière directe, sans filtre.
    On peut donc percevoir cette époque, cette tendance, cette réalité.

    Par contre, à mon opinion, l'éventreur est très faible question subtilité, et pour le moins ! Le fait de révèler le tueur au détour d'un rêve est une scorie car le whodunit est le coeur du giallo. Il est ici gâché.
    La voix du tueur de canard passe mal, ce n'est ni original, ni hélas heureux.
    Bref, pas grand chose ne fonctionne ici, dans le mécanisme de l'histoire, si ce ne sont que les meurtres bruts et sadiques.

    Un titre mineur, pour un réalisateur qui était capable de mettre en oeuvre une belle dramaturgie dans Paperino, une histoire à tiroirs dans Perversion story, ou encore de tenter une oeuvre évolutionnaire dans Carole/Le venin de la peur.

    Film mineur, mais authentiquement glauque (on reconnait bien là la patte de notre réalisateur qui sut saisir un élément fort dans son film), qui marque quasiment la fin, avant Manathan Baby (encore à New-York !), le terme de son contrat avec Fabrizio De Angelis.

    Un producteur sur lequel il faudrait revenir...

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    1. Perso j'aime beaucoup Aenigma. Pas sûr qu'il soir si aisé de tracer une limite claire dans la carrière de Fulci.

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    2. Ah tiens ! Aegnima !
      Tout d'abord, l'essentiel, dans la cinéphilie, ce sont les films que tu aimes et apprécies : toi. Ceux qui te dictent ce que tu dois aimer, apprécier, ou qui décident de ce qui est ringard...
      C'est donc ôter de cette morgue que je te délivre, si tu le permets, mon avis sur Aenigma. A tous les niveaux, techniquement, scénaristiquement, qualité, c'est vraiment en dessous de son âge d'or.

      Un ami italien, qui adore Fulci, résume le fait qu'il avait besoin, comme tous les cinéastes d'ailleurs, d'une équipe technique fidèle derrière la caméra, au scénario, voire à la production. Là, aucune des qualités ne semble réunies sur un film qui fait penser à Carrie, Hello Mary Lou...
      Dommage, quand on a même plus la carte de l'originalité, ou de la folie, hormis peut-être la mort par les escargots (ce qui a dû plaire aux anglais !?!).

      Mais, encore une fois, c'est une appréciation et ton avis vaut largement le mien.

      Amicalement

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    3. Oui Tinte, t'inquiètes, je ne me sens ni timoré ni oppressé par des jolis phrasés. Et je suis entièrement d'accord avec toi, surtout lorsque tu parles d'âge d'or. Mais est-ce que cet âge d'or ne concerne pas un peu tout le bis italien ? Ensuite, évidemment moi aussi je créé des échelles à hauteur de carrière d'un artiste, mais j'aime aussi ancrer les films dans leurs époques. Et de 1. : à partir du milieu des années 80, le bis italien vivait un vrai déclin financier, et de 2 : "Aenigma" est très bien pour son époque et très au-dessus de la moyenne du gore (américain par exemple). Ensuite, si tu considères que l'année 1988 est celle des films de maisons hantées et de fantômes italiens, "Les Fantômes de Sodome" est très au-dessus de la moyenne de tout ce qui a été produit par l'Italie ou co-produit avec les USA (comme les trucs avec David Hasselhoff et Linda Blair). Après, on parle toujours de cinéma bis ici. Ensuite, à partir de "Zombie 3" le déclin est beaucoup plus flagrant avec ensuite les téléfilms dont tu parles plus haut. Quoique j'ai toujours eu un petit faible pour "Nightmare Concert", mais là ça tient au fait que Fulci s'adressait sans trop de moyens à ses fans, et que ça me parle de cette manière-là. Au même titre qu'un film de Godard tourné sans un rond mais qui cherche coûte que coûte à tourner encore et encore pour nous partager ses idées. Si l'exemple de Godard déplait à certains, on n'a qu'à remplacer cet exemple par celui de Jesùs Franco puisqu'il s'agit du même problème bien que ce soit un tout autre exercice de style.

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    4. Hello.
      Content que nous soyons sur la même ligne, euh..., éditorial, pour cet échange.
      Personnellement, je situe la fin du bis à l'année 1983.
      Pourquoi ? Parce que les films italiens sortaient en salles et bénéficiait d'une acceptable diffusion (même s'ils ne faisaient pas des recettes extraordinaires, loin s'en faut).
      L'année 1983 correspond d'ailleurs à la venue des vidéo-clubs en France puis, une année plus tard, Canal+.
      Ce qui est dommage, pour le bis italien, sa qualité, ses techniciens, c'est qu'il n'avait pas su bénéficier de l'explosion de la vidéo alors qu'il avait de très sérieuses cartes à jouer. Si on considère qu'un mauvais roublard comme Charles Band a pu monter une grosse société sur ce créneau, on se dit que les producteurs italiens étaient vraiment des Mavericks.
      D'ailleurs, le cinéaste/producteur sur lequel tu peux vraiment fonder une analyse intéressante est justement Joe D'Amato. Avant 1984/85, ses films étaient personnels et mémorables, après, c'était du tout venant qui ne se distinguaient plus guère du tout venant à cause d'une certaine uniformisation avec sa Filmirage (exemple : Deepblood avec son requin. Si je ne me trompe pas de titre). Acteurs nuls, films dont on avait la triste impression qu'ils étaient tournés aux USA et scénario sans une once d'originalité ou de folie)...

      La suite des années 80, pour le cinéma de genre italien, ce fut le schèma des adolescents enfermés dans un lieu maudit, avec découverte progressive de la malédiction, des morts peu à peu, puis le couple qui s'en sortait.
      On a vu cela de Lamberto Bava, Lenzi à Fulci et s'était vraiment la formule en son temps, qui était précisément de facture télévisuelle, mais qui s'était déjà vu dans certains films italiens des années 60.

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    5. A ce stade, et malgré un ou deux titres sympa, comme le Lenzi où des archéologues se trouvent confrontés à des moines fantômes, voire même Le masque du démon 2 (assez sympa en fin de compte), ou même un ou deux LAmberto BAva (le château de Yurek), c'est assez faible, extrêmement répétitif quand tu as compris le schéma.

      Pour en revenir à Fulci, que je considère comme un géant inégalé, à l'heure encore, j'ai trouvé son Gato nel cervello assez faible. Probablement à cause de l'aspect téléfilm, du manque de moyens, de la suspension d'incrédulité...Je n'ai pas marché une seule minute dans ce film.

      Fulci, qui avait d'ailleurs un sacré aplomb (dépassé par Lenzi en fin de vie qui se revivait presque comme un génie du cinéma de genre), racontait à tout va que Craven l'avait pompé sur Gato nel cervello. Je pense que ce film-ci n'offre pas une réelle parenté avec Freddy sort de la nuit, mais plutôt Le venin de la peur dans sa version initiale, c'est à dire les deux tueurs qui auraient dû sortir des rêves ou de la psyché défaillante de Carole...

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    6. Zombie 3, c'est une production Flora films avec un cahier des charges assez particulier (des explosions, de la guerre). Pourtant, je m'en souviens, ce film avait connu une belle promotion sur le marché de la location et des ventes des k7 vidéos. Pourtant, c'est à mon sens une grosse nullité, même pas sympathique comme l'était, par exemple, Virus cannibale qui, en comparaison, avait de la retenue dans les idées.

      Il y a effectivement des petits moments "Fulcien" dans Zombie 3, les oiseaux, ect...mais l'ensemble est aussi nul que lourd, au-delà de la suspension d'incrédulité la plus élémentaire. Donc, mauvais film en tout et pour tout. Dommage, il y avait une petite chance, minuscule, de pouvoir reproduire un électrochoc pour le bis comme le fut, en son temps, l'enfer des zombis, le meilleur Fulci de l'épouvante selon moi (je préfèrais jadis L'au-delà mais j'ai évolué sur ce point), et un produit d'appel pour renouveler le public.

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    7. On est d'accord sur le fond, cher Tinte. Je m'étais fait la même remarque à une époque concernant "Nightmare concert" et "Freddy sort de la nuit", mais je crois que ça a été remis en question depuis pas mal de temps en prenant "La nuit américaine" de Truffaut en référence et d'autres films d'auteur autobiographiques (romancés) des 70's et 80's. Puis c'est indéniable que le film de Craven est excellent.
      Concernant les moines fantômes, il y a aussi ce film refusé par Fulci qui n'a pas été traduit en France, mais qui était trouvable en DVD en Angleterre :
      http://bryininberlin.blogspot.com/2015/04/the-red-monks-i-frati-rossi-italy-1988.html

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  8. salut Attreyu !
    j'attendais un peu ....
    voici une version de mon pote Dan !
    L.eventreur.De.New.York.(1982).VFF.ENG.1080p.MULTi.AAC.2.0.(RHT).mkv (2.09 GB)
    https://uptobox.com/zvp98eb4q6fo

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  9. mon ami avec qui j'ai fait l'emission et qui va le sortir était content...
    merci ! :) :)

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  10. Un film que j'ai regardé il n'y a pas très longtemps mais je n'ai vu que la VF d'une copie de très faible qualité , je regarderais bien la VA et la VI pour m'en faire un autre avis
    merci Atreyu et Hyperion également pour le lien en HD

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  11. Merci pour ce partage d'un film que je n'avais encore jamais vu et dont j'avais très souvent entendu parler.
    Il ne comptera malheureusement pas dans mes favoris.
    Brutal et cruel, il l'est clairement, davantage que dans d'autres de ses films. Il s'en dégage comme une rage.
    J'ai été impressionné par la photographie et la mise en scène très marquées par leur empreinte américaine.
    Je ne qualifierais pas le film de mineur dans sa carrière, pour ce que j'en connais, mais pour moi ce n'est pas un de ses meilleurs.
    La faute à un doublage français et américain qui ne l'aident pas, ainsi qu'au jeu de certains acteurs qui n'est pas toujours à la hauteur.
    Il y a aussi parfois des problèmes de rythme.
    Dans le même genre mes préférés resteront Le venin de la peur et La longue nuit de l'exorcisme que je trouve nettement plus maîtrisés et que je considère pour ma part parmi ses meilleurs films, et qui selon moi n'ont pas à rougir face aux classiques de Dario Argento.
    Dans l'horreur, seul L'enfer des zombies a gardé grâce à mes yeux.
    La maison près du cimetière, Frayeurs et L'au-delà sont des films dont je me suis finalement séparés, à regrets je l'avoue. Même si je leur reconnais des qualités, leurs défauts l'ont emporté sur l'appréciation que je leur portais.
    Mais je pense que, comme beaucoup ici, Fulci est un réalisateur pour qui j'ai une véritable tendresse.
    Poyepolomi75

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  12. Je suis d'accord avec Atreyu un grand film du maestro du macabre

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