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dimanche 26 août 2018

Only lovers left alive (2013) HDTV bilingue



Réalisateur : Jim Jarmusch
Acteurs : Tilda Swinton, Tom Hiddleston, John Hurt
Genre : fantastique, bavardages

Qualité : HDTV (1080i) sans logo
Type : mkv (3,48Go)
Langues : Anglais, français, allemand
Sous-titres : français

J'ai une théorie sur les réalisateurs ayant un style et un univers : ils ne sont jamais aussi bons que à leurs débuts dans des films de commande. Ensuite, ils deviennent des "maîtres", sans contrainte mais aussi sans imagination. Jim Jarmusch m'en a donné une parfaite illustration avec ce film qui ressemble à une parodie de ses premiers films.
Autres exemples récents : Tim Burton surtout, les frères Coen, Tarantino, et pour les Français, Besson, Jeunet et déjà Gondry.



9 commentaires:

  1. Merci, j'ai beaucoup apprécier le look de Tilda Swinton...

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  2. « Fantastique-bavardages »… une nouvelle catégorie vient de naître, reste plus qu’à découvrir avec une superbe de distribution. Merci VirDaucalis !

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  3. le commentaire sur les dérives des créateurs sans contraintes est terriblement juste, pour ma part j'ajouterais bien à la liste david lynch et peter greenaway.

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    1. Pour Peter Greenaway, ça vient plutôt du manque des budgets.

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  4. Entièrement d'accord avec ta theorie vir!

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  5. Idem pour l’israélien Amos Gitaï et pour l'Iranien Abbas Kiarostami.
    Mais on disait déjà ça du cinéma d'auteur italien au début des années 90 avec les frères Taviani ou le dernier Fellini.

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    1. En France il y a aussi le cas Pierre Schoendoerffer qui nous donne un peu la sensation obsédante de regarder continuellement le même film...

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  6. Complètement d'accord avec ta théorie, sauf pour Tarantino qui, à mon sens, n'a jamais eu d'imagination. Il n'est bon que lorsqu'il n'écrit pas. Sa prétention et son manque de connaissance du Bis dont il s'inspire' soi-disant, lui permettent de duper un certain public. Bon technicien, mais auteur est un nom/adjectif qui ne lui convient en rien.

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  7. On peut aussi inverser philosophiquement cette théorie. Puisque commandes ou pas, au départ les artistes ont un besoin pathologique de reconnaissance. La reconnaissance venue, la routine s'installe. Et ce sont finalement les attentes du public qui deviennent le moteur de l'artiste (et on peut considérer cette manière d'auto-motiver l'égo comme une forme de "commande").

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