Réalisé par : Ferdinando Baldi
Avec : Leonard Mann, Luciana Paluzzi, Barbara Nelli, Alberto de Mendoza, Pilar Velazquez...
Durée : 1h25
Titre original : "Il pistolero de l'Ave Maria"
Musique : Roberto Pregadio
Genre : Western spaghetti
IMDB : 6,7 (http://www.imdb.com/title/tt0065104/?ref_=fn_al_tt_1 )
Qualité : TVsatrip vf
Histoire
Sébastian ressurgit de l'ombre après quinze ans, à l'instigation de
Raphaël, son compagnon de jeux d'enfance et l'amoureux malheureux de sa
sœur Isabel, pour une vengeance terrible contre l'assassin de son père
de mèche avec sa mère.
Selon toute logique, le mois de décembre sera généreux et c'est pourquoi je pense vous gater avec une bonne vingtaine de films. Donc continuons les fetes, avec un nouvel opus du western spaghetti déjanté ! "Le dernier des salauds" ou encore "Le pistolero de l'Ave-maria" commence fort des les premières images.
S'articulant autour de deux personnages, des amies d'enfance, confrontés à deux méchants de la pire espèce, puisqu'il s'agit ni plus ni moins de la mère du héros et de son amant ayant trucidé le père quelques années plus tôt, au moment ou commence l'histoire. Bien sur encore et toujours on retrouve le thème en vogue de la vengeance, cher à de nombreux réalisateurs du genre, mais le film est ne l'oublions surtout pas du à Ferdinando Baldi, l'un des meilleurs artistes en la matière
( "Trinita prépare ton cercueil", "le justicier aveugle", "Le salaire de la haine" "Texas Addios" etc...)
Ici il ne lésine pas sur les dialogues incisif et vulgaires, les fusillades sanglantes, les chevauchées infatigables, quelques donzelles sexy en diable ou un saloon emplie de crapules toujours pretes à se cogner, mais surtout il donne une image de la famille sans pitié ou l'on élimine sans restriction les obstacles. Bref on a droit ici à un catalogue fourni de péripéties en tout genres, avec comme toile de fond la cruauté, le sadisme des hommes mais aussi de certaines femmes et de leur folie cachée, avec une approche de la morale sans morale dans un très bon western d'abord conçu pour s'écarter des conventions du genre.
Bien rythmé grace à un montage vif, bien joué, bien réalisé "Le dernier des salauds" remplit sa fonction et c'est tout ce qui compte au final.
A savoir, 1h30 de ride en mode western spaghetti violent qui se savoure tel quel !
S'articulant autour de deux personnages, des amies d'enfance, confrontés à deux méchants de la pire espèce, puisqu'il s'agit ni plus ni moins de la mère du héros et de son amant ayant trucidé le père quelques années plus tôt, au moment ou commence l'histoire. Bien sur encore et toujours on retrouve le thème en vogue de la vengeance, cher à de nombreux réalisateurs du genre, mais le film est ne l'oublions surtout pas du à Ferdinando Baldi, l'un des meilleurs artistes en la matière
( "Trinita prépare ton cercueil", "le justicier aveugle", "Le salaire de la haine" "Texas Addios" etc...)
Ici il ne lésine pas sur les dialogues incisif et vulgaires, les fusillades sanglantes, les chevauchées infatigables, quelques donzelles sexy en diable ou un saloon emplie de crapules toujours pretes à se cogner, mais surtout il donne une image de la famille sans pitié ou l'on élimine sans restriction les obstacles. Bref on a droit ici à un catalogue fourni de péripéties en tout genres, avec comme toile de fond la cruauté, le sadisme des hommes mais aussi de certaines femmes et de leur folie cachée, avec une approche de la morale sans morale dans un très bon western d'abord conçu pour s'écarter des conventions du genre.
Bien rythmé grace à un montage vif, bien joué, bien réalisé "Le dernier des salauds" remplit sa fonction et c'est tout ce qui compte au final.
A savoir, 1h30 de ride en mode western spaghetti violent qui se savoure tel quel !
Réup sur demande uniquement !
Trailer photographique (la musique d'accompagnement de R.Pregadi est une tuerie !)
Bon western , au-dessus de la moyenne du genre par son scenario Shakespearien et sa mise en scene appliquée .
RépondreSupprimerOn retrouve la James Bond girl Luciana Paluzzi et la belle Pilar Velazquez .
Il manque à tes crédits casting Peter Martell ( Pietro Martellanza ) , décédé il y a trois ans , dans un role tout en nuances alors que Leonard Mann ( Leonardo Manzella ) incarne un heros un peu fade .
Une fin superbe et une musique magnifique de Roberto Pregadio entetante et melancolique parachevent le tout .
Bon choix Atreyu .
Il me tarde devoir ce Western que je ne connaissais pas.
RépondreSupprimer"Un Vrai Cinéphile".
Ce trailer donne envie
RépondreSupprimerQui est la vraie mère de Sebastien et Isabel? Pas celle de Rafael mais qui? Pas l'autre la méchante? Et leur père est-ce le bon? Le premier qui se fait flinguer? Le dernier? Le facteur? Qui? Quelqu'un a compris l'intrigue?
RépondreSupprimerMerci ^_^
RépondreSupprimerMerci,mais malheureusement les liens sont morts.
RépondreSupprimerCe serait génial si tu pouvais mettre des nouveaux liens. Merci d'avance.
RépondreSupprimerMerci j'attendrai pas de soucis.
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour les nouveaux liens.
RépondreSupprimermerci pour le western !
RépondreSupprimerles liens svp sur email
RépondreSupprimerzoratiba@gmail.com
je ne fournis aucun lien par mail sauf si c'est moi qui le propose
Supprimerles liens svp et merci
RépondreSupprimerbonsoir le réup arrivera dici samedi, des que j'ai un moment car la suis tres occupé en semaine et fatigué du boulot. mais ce sera fait grand max ce Week end, voila
SupprimerFichier retrouvé et réup effectué !
SupprimerBonjour serait il possible d'avoir un reup des 2 westerns de Baldi que vous proposez svp. Merci beaucoup. Bravo pour la passion !
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